۱۳۹۵ آذر ۲۸, یکشنبه

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La France présente une résolution à l’ONU pour l’évacuation des habitants d’Alep

Au lendemain de la suspension des opérations d’évacuation par le régime syrien, il resterait environ 40 000 civils dans la partie rebelle de la ville, selon l’ONU.
Le Monde.fr avec AFP | • Mis à jour le
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Dans un quartier d’Alep tenu par le régime de Bachar Al-Assad, le 16 décembre.

C’est dans le froid, et taraudés par la faim, que des milliers de rebelles et de civils attendaient, samedi 17 décembre, la reprise des évacuations des derniers quartiers rebelles d’Alep, a constaté un journaliste de l’Agence France-Presse (AFP) au lendemain de la suspension des opérations par le régime syrien de Bachar Al-Assad.

Un responsable rebelle a assuré qu’un accord pour la reprise des opérations avait été trouvé, mais aucune confirmation n’avait été donnée par le régime. Il resterait environ 40 000 civils dans le réduit rebelle d’Alep et entre 1 500 et 5 000 combattants avec leurs familles, selon l’émissaire de l’Organisation de Nations unies (ONU) pour la Syrie, Staffan de Mistura.
Selon l’agence de presse officielle syrienne Sana, des bus ont commencé à entrer en fin de matinée « dans les quartiers de Zabdiyé, Salaheddine, Al-Machad et Al-Ansari dans l’est d’Alep sous la supervision du Croissant-Rouge et du Comité international de la Croix-Rouge » en vue de la reprise de l’évacuation. Nous ne disposons, pour l’instant, pas d’autre source permettant de confirmer cette information.

Résolution

Le Conseil de sécurité de l’ONU se prononcera dimanche sur un projet de résolution présenté par la France demandant le déploiement dans la ville syrienne d’Alep d’observateurs pour superviser les évacuations et garantir la protection des civils, ont annoncé samedi des diplomates. Le Conseil se réunira à 11 heures locales (17 heures en France) pour voter sur le texte, malgré l’opposition de la Russie, alliée du régime de Bachar Al-Assad, qui dispose d’un droit de veto.
Le projet de résolution, qui circulait déjà vendredi soir parmi les 15 membres, indique que le Conseil « s’alarme » de la crise humanitaire qui s’aggrave à Alep et du fait que « des dizaines de milliers d’habitants d’Alep assiégés » ont besoin d’aide et d’être évacués.
Dans le quartier d’Al-Amiriyah, encore tenu en partie par les insurgés et d’où part le périple des évacués, des milliers de personnes, dont des enfants, ont passé la nuit dans les ruines des immeubles alentour dans l’attente d’une possible reprise des opérations. Les habitants privés d’eau potable et de nourriture, subsistent en mangeant des dattes, alors que la température avoisinait – 6 °C, a souligné le correspondant de l’AFP.
L’armée syrienne a suspendu vendredi les évacuations en accusant les rebelles de « ne pas respecter les conditions de l’accord ». Une source militaire a affirmé que les insurgés avaient « ouvert le feu et voulu sortir des armes moyennes et prendre des otages ».

Forcés de rebrousser chemin

Selon l’opposition et les groupes armés à Alep, ce sont les milices chiites qui se battent aux côtés du régime syrien seraient intervenues pour bloquer les évacuations. D’après leurs témoignages, plusieurs centaines d’Alépins en cours de transfert auraient été brièvement kidnappés par ces milices, qui réclament en contrepartie que le siège imposé à deux villages chiites de la province d’Idlib, Foua et Kefraya, soit allégé.
Depuis jeudi, 7 000 civils ont été évacués selon le chef de la diplomatie turque, Mevlut Cavusoglu. A Moscou, le ministère de la défense évoque pour sa part le chiffre de 6 400 personnes évacuées au cours des dernières vingt-quatre heures, dont 3 000 rebelles, selon des chiffres cités par l’agence de presse russe RIA.
Mais vendredi un convoi de plus de 800 personnes évacuées a été forcé de rebrousser chemin par des miliciens chiites prorégime, les rebelles assurant que le groupe avait essuyé des tirs. Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui supervise les évacuations, a d’ailleurs précisé qu’il examinait « des informations évoquant des tirs ».
Faisant état de « signalements sur des exécutions de civils », le président américain Barack Obama a réclamé le déploiement d’observateurs impartiaux pour superviser les évacuations. La France a d’ailleurs présenté vendredi un projet de résolution en ce sens au Conseil de sécurité de l’ONU où la Russie, alliée de Damas, s’est montrée sceptique. Un vote pourrait avoir lieu ce week-end, selon l’ambassadrice américaine à l’ONU, tandis que son collègue français faisait état d’une « écrasante majorité » des quinze membres du Conseil en faveur du texte. En presque six ans, les conflits en Syrie ont fait plus de 310 000 morts.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/syrie/article/2016/12/17/a-alep-des-milliers-de-personnes-attendent-toujours-d-etre-evacuees_5050597_1618247.html#GsLCL5H5KezBstl7.99

Des dizaines de soldats tués dans un attentat-suicide au Yémen

Un kamikaze a fait sauter ses explosifs alors que des soldats étaient rassemblés pour toucher leur solde mensuelle, a précisé un responsable militaire.
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Dans la base d’Al-Sawlaban, après l’attentat-suicide, dimanche 18 décembre.
Dans la base d’Al-Sawlaban, après l’attentat-suicide, dimanche 18 décembre. SALEH AL-OBEIDI / AFP

Au moins 40 soldats ont été tués et quelque 50 blessés dans un attentat-suicide dimanche 18 décembre à Aden, la deuxième ville du Yémen, a indiqué le chef du département local de la santé. Le bilan des morts pourrait s’aggraver car, parmi les blessés, il y a « des cas critiques », a-t-il ajouté.

Un kamikaze a fait sauter ses explosifs alors que des soldats étaient rassemblés pour toucher leur solde mensuelle près d’une base au nord-est d’Aden, ont indiqué des responsables militaires. Le terroriste s’est mêlé à la foule devant la résidence d’un chef militaire près de la base d’Al-Sawlaban, située dans le quartier d’Al-Arish, avant de perpétrer son attentat, a précisé l’un d’eux.
C’est la troisième attaque meurtrière de ce type en moins de quatre mois dans la grande cité portuaire du Sud. Une attaque similaire a eu lieu le 10 décembre et a été revendiquée par l’organisation djihadiste Etat islamique (EI). Celle-ci avait fait 48 morts parmi des soldats alors rassemblés pour encaisser leur solde. Déjà, le 29 août, un kamikaze au volant d’une voiture piégée avait visé de jeunes recrues de l’armée à Aden, faisant 71 morts. Le groupe EI avait également revendiqué cette attaque.

Plus de 7 000 morts

L’organisation EI et Al-Qaïda ont profité du chaos engendré par la guerre au Yémen pour multiplier leurs actions dans le Sud, notamment contre les forces gouvernementales qui peinent à sécuriser les zones sous leur contrôle et à recruter de jeunes soldats. Jeudi, Al-Qaïda au Yémen avait pris ses distances avec l’attentat du 10 décembre, qualifiant l’organisation EI de groupe « déviant » qui cherche à « semer la zizanie » avec des tribus.
Les forces gouvernementales yéménites, soutenues depuis mars 2015 par une coalition arabe sous commandement saoudien, affrontent à la fois des rebelles houthistes alliés à des partisans de l’ancien président du Yémen, qui contrôlent une partie du territoire dont la capitale Sanaa (nord), et des groupes djihadistes bien implantés dans le sud et le sud-est du Yémen. Le conflit au Yémen a fait plus de 7 000 morts et près de 37 000 blessés depuis près de vingt et un mois, selon l’ONU.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/international/article/2016/12/18/des-soldats-tues-dans-un-attentat-suicide-au-yemen_5050809_3210.html#PUwUIO4K07ktYP8J.99

Cisjordanie : les colons israéliens d’Amona acceptent leur relogement

La colonie sauvage construite sur des terres privées palestiniennes devait être détruite d’ici au 25 décembre, selon un jugement de la Cour suprême.
Le Monde.fr avec AFP | • Mis à jour le
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Un jeune colon israélien, à l’avant-poste d’Amona en Cisjordanie occupée, le 18 décembre.

Les habitants de la colonie sauvage israélienne d’Amona en Cisjordanie occupée qui devaient être évacués de force ont accepté une offre de relogement présentée par le gouvernement, a annoncé dimanche 18 décembre un porte-parole des colons. « Les habitants d’Amona ont décidé de suspendre leur lutte et de donner une chance à l’arrangement » présenté par le gouvernement, selon le porte-parole Ofer Inbar.

Cet avant-poste construit sur des terres privées palestiniennes, à quelques kilomètres de Ramallah, devait être détruit d’ici au 25 décembre, selon un jugement de la Cour suprême. Il était à l’épicentre d’une bataille aux enjeux politiques, diplomatiques et humains qui n’a fait que s’intensifier ces dernières semaines.

Construction de 52 maisons à proximité du site actuel

Une véritable guerre des nerfs a eu lieu entre le gouvernement et les représentants des colons. La question était de savoir si les 300 habitants de cette colonie sauvage accepteraient un compromis ou s’accrocheraient à leurs biens au risque de provoquer des affrontements entre les policiers et les centaines de jeunes colons et militants d’extrême droite qui se sont mobilisés ces derniers jours sur place pour empêcher toute évacuation. Le vote des habitants a été acquis par 45 voix contre 29.
Selon un communiqué des colons, la proposition de compromis du gouvernement prévoit comme compensation la « construction de 52 maisons et bâtiments publics à Amona » dans des lopins de terre, situés à proximité du site, où se dressait jusqu’à présent cette colonie.
Amona est une colonie dite sauvage, c’est-à-dire illégale au regard du droit qu’Israël applique à la majorité de la Cisjordanie, un territoire palestinien occupé par l’Etat hébreu depuis 1967. L’Organisation des Nations unies (ONU) et une grande partie de la communauté internationale ne font pas de distinction et considèrent toutes les implantations israéliennes dans les territoires palestiniens occupés comme illégales.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/international/article/2016/12/18/cisjordanie-les-colons-israeliens-d-amona-acceptent-leur-relogement_5050847_3210.html#0JtquD5DCVutvAqo.99

Dr. Morteza Mohit, 17 Dec. 2016 - استقلال، آزادی، عدالت اجتماعی