۱۳۹۴ مهر ۲۵, شنبه

تصاويری از:"جلادانی" که در مراسم مرگ " حسین همدانی!!**شرکت کردند! داسِ کُهنه، قصیده‌ای از م. سحر



تصاويری از:"جلادانی" که در مراسم مرگ



" حسین همدانی!!شرکت کردند!



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داسِ کُهنه، قصیده‌ای از م. سحر



م. سحر



...جلاد او به جلد مراد کبیر او / بدخواه او به جامۀ پیر 


مغان او // پیک بهشت او شده دوزخ‌فروز او 


/ دوزخ‌فروز او شده آتش‌نشان او


// چونین چگونه راه توان بُرد زی فلاح




 / آنرا که سوی چاه برَد نردبان او؟ /


/ قومی چنین، چگونه برآید مراد وی؟ /

 شهری چنین، 




چگونه بماند نشان او؟


بیچاره ملتی که نیاز به قهرمان دارد


برتولد برشت


بیچاره ملّتی که شود قهرمانِ او، 


آن نابرادری که بود خصم جان او

نامردمی که چهره نهان کرده در فریب
چون رهزنی به همرهی‌ی کاروان او

گُرگی که بردریدنِ میش است آرزوش
وز راهِ دین خزیده به جلدِ شبان او

بیچاره ملتی که سپارد زمامِ عقل
در دست شرع و، دزد شود پاسبان او!

از بد، هزار بار بتَر، روزگارِ آنک
دیو از درِ خدا برُباید روان او

رنگِ کلامِ خویش زند بر کلامِ وی
فکرِ نهانِ خویش نهد بر زبان او

بر خوانِ او نشیند و از خون او خورد
برجا نهد ز بهرِ سگان استخوانِ او

خنجر به دست وی بنشاند به کامِ وی
تیر افکند به سینۀ او از کمان او

وَهنی چنین، اگرچه نه درخورد آدمی‌ست
دردا که زاید از دلِ وهم و گمان او

دردا که مُنتج است ز فقدانِ رای وی
رنجا که حاصل است ز جهلِ گران او

اربابِ دین ربوده به چنگگ نهادِ وی
اصحابِ جور، برُده به ذلّت، جهان او

جلادِ او به جلدِ مُرادِ کبیرِ او
بدخواهِ او به جامۀ پیر مغان او

پیکِ بهشتِ او شده دوزخ‌فروزِ او
دوزخ‌فروزِ او شده آتش‌نشان او

چونین چگونه راه توان بُرد زی فلاح
آنرا که سوی چاه برَد نردبان او؟

قومی چنین، چگونه برآید مراد وی؟
شهری چنین، چگونه بماند نشان او؟

این داستان سَمر شده زان ملّتی که کرد
بیدادِ شرع، سهمِ تبر، بوستان او

وجدان فروخت، اهلِ تفکّر به اهلِ دین
با این طمع که دین بدهد آب و نان او!

غافل از آن‌که دیر نپاید سرابِ وی
نادان در این که زود سرآید زمان او

زین‌گونه سوخت کشور و ویرانه شد زمین
رفت از نهادِ باغ، بهار و خزان او

قومی، شکسته کشتی و دریاست در خروش
بی باد شُرطه مانده چنین بادبان او!

گُم کرده آشیانه، به دیدارِ آشنا
چونین، چگونه تازه شود آشیان او؟

دین، داسِ کُهنه بود و به کینش جَلا زدند
تا خون به آسیاب، کنند ارمغان او

اکنون چه مانده، غیرِ شقایق میانِ دشت
وان برگ‌های سوخته در خاوران او؟

***
آن کو متاعِ روشنی از دین طلب کند


دینش متاع و روشنی‌ی او دکان او



م. سحر

Comment la France a aidé Israël à avoir la bombe

http://www.lefigaro.fr/international/2008/05/07/01003-20080507ARTFIG00013-comment-la-france-a-aide-israel-a-avoir-la-bombe.php
Comment la France a aidé Israël *
à avoir la bombe

Dans le domaine de la dissuasion, cela s'appelle une politique d'ambiguïté nucléaire. Officiellement, l'État hébreu, qui fête ces jours-ci son soixantième anniversairen'a toujours pas la bombe atomique. Il n'a pas signé le traité de non-prolifération nucléaire (TNP) et n'est donc pas soumis au contrôle des inspecteurs de l'Agence internationale à l'énergie atomique (AIEA). Mais c'est un secret de Polichinelle, dans cette région troublée du Proche-Orient, qu'Israël dispose d'ogives atomiques, surtout depuis que le premier ministre Ehoud Olmert l'a implicitement reconnu, en décembre 2006. De fait, Israël a la bombe depuis 1967. Et c'est l'aide, décisive, de la France, qui lui a permis de devenir la sixième puissance nucléaire de la planète.
Lorsque naît l'État hébreu, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale qui a vu, pour la première fois, l'utilisation de l'arme suprême par les États-Unis contre le Japon, les responsables israéliens misent sur la bombe pour éviter qu'un second Holocauste puisse un jour être commis contre le peuple juif. L'arme nucléaire devra assurer la survie du nouveau pays sur le long terme. Plus tard, elle devra aussi le protéger des menaces représentées par l'Irak et l'Iran, soupçonnés d'avoir eux-mêmes des ambitions nucléaires militaires.
Le programme nucléaire israélien est lancé en 1949 par le premier ministre, David Ben Gourion. À l'époque, les États-Unis refusent d'y contribuer. Déjà, la perspective de voir un jour la Chine et la France rejoindre le club très fermé des puissances nucléaires ne plaît guère à Washington. Les dirigeants américains veulent à tout prix éviter la nucléarisation du Proche-Orient. Sous John F. Kennedy, l'Administration américaine n'aura de cesse d'essayer de convaincre Israël de renoncer à son programme atomique. En échange, le Pentagone offrait son parapluie nucléaire et des garanties sur la dissuasion. En vain.
En 1954, Ben Gourion se tourne vers Paris, à qui il propose une entraide mutuelle pour la mise au point de la bombe. La France possède un double avantage : elle a une longueur d'avance en matière de recherche nucléaire et veut laver la honte de la Collaboration en cajolant les victimes juives du nazisme. Le rapprochement franco-israélien se noue autour de la guerre de Suez. Les deux pays ont un ennemi commun : l'Égypte de Gamal Abdel Nasser, qui soutient d'un côté le Front de libération nationale (FLN) algérien contre la France et arme, de l'autre, les fedayins palestiniens contre Israël.

Programme clandestin

Lorsque le président égyptien ferme le canal de Suez à la navigation israélienne avant de le nationaliser en 1956, Paris et Tel-Aviv font front commun et décident d'intervenir aux côtés de la Grande-Bretagne. Ce sera un fiasco, en raison de l'hostilité américano-soviétique à l'aventure. Mais l'amitié franco-israélienne se poursuit. En octobre 1957, Paris et Tel-Aviv passent des accords diplomatiques et techniques et lancent véritablement le programme nucléaire clandestin, supervisé par Shimon Pérès et financé par des fonds secrets prélevés sur le budget du ministère israélien de la Défense.
La France avait promis de fournir la centrale nucléaire de Dimona, dans le désert du Néguev, avant la crise de Suez. Mais la coopération, qui doit permettre à Israël d'obtenir la maîtrise complète du cycle de combustible et de se hisser au rang de nouvelle puissance nucléaire, est renforcée après l'invasion du Sinaï égyptien par l'armée israélienne. Paris envoie plusieurs centaines de techniciens, livre un réacteur nucléaire de 24 mégawatts et entame les travaux à Dimona en 1958.
Le contrat prévoit également la construction d'une usine souterraine de séparation isotopique. En échange de son soutien déterminant, la France, qui cherche elle aussi à se doter de l'arme atomique ce sera chose faite en 1960 espère «bénéficier de la technologie américaine, à laquelle les scientifiques israéliens sont supposés avoir accès», explique l'historien Pierre Razoux (*).
Lorsque de Gaulle revient au pouvoir en 1958, il freine, puis ordonne l'arrêt de la coopération nucléaire avec Israël. Le général veut réorienter la politique étrangère de la France dans un sens plus favorable aux pays arabes, surtout après les accords d'Évian sur l'indépendance algérienne en 1962. Les essais nucléaires français ayant été concluants, de Gaulle estime qu'il n'a plus besoin des Israéliens pour faire progresser la recherche. «Mais surtout, il veut assurer le caractère français de la bombe, recentrer l'outil de dissuasion sur le territoire national», indique Pierre Razoux, qui occupe aujourd'hui des fonctions au Collège de défense de l'Otan à Rome.
Après lui, Georges Pompidou, Valéry Giscard d'Estaing puis Jacques Chirac mèneront une politique nucléaire beaucoup plus proliférante. Paris ira même jusqu'à fournir un réacteur nucléaire, celui d'Osirak, à l'Irak de Saddam Hussein. «Mais sous de Gaulle, la politique nucléaire de la France est vraiment recadrée. Nous ne sommes plus dans l'amitié très forte qui liait la classe politique française et les travaillistes israéliens», explique Bruno Tertrais, spécialiste du nucléaire à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) à Paris.

Un gilet pare-balles

L'aide française aura néanmoins été déterminante. Le programme israélien est suffisamment avancé pour pouvoir être mené jusqu'à son terme. Les principales étapes ont été franchies et l'usine de Dimona est terminée. Nasser s'en alarme, qui déclare en 1966 : «L'Égypte se lancerait dans une guerre préventive si Israël se mettait à fabriquer des armes nucléaires.» Le président égyptien multiplie les provocations envers l'État hébreu, envoie ses avions survoler Dimona. Mais il est trop tard. À la veille de la guerre des Six-Jours en 1967, les premières armes nucléaires sont quasi opérationnelles au sein de Tsahal.
Pendant tout ce temps, le secret est conservé sur le programme nucléaire israélien. Pour en avoir révélé l'ampleur dans une interview au Sunday Times, en octobre 1986, l'ancien technicien Mordechai Vanunu a été condamné à dix-huit ans de prison.
Après avoir longtemps servi de gilet pare-balles contre la menace irakienne, lorsque Saddam Hussein était au pouvoir, le programme nucléaire vise aujourd'hui en grande partie à protéger l'État hébreu de la menace iranienne. Les ambitions nucléaires de Téhéran et l'intransigeance de Mahmoud Ahmadinejad, qui estime qu'Israël devrait être «rayé de la carte», ont potentiellement rétabli la menace existentielle qui pesait contre l'État hébreu avant la guerre des Six-Jours de 1967 ou pendant la guerre de Kippour de 1973.
Selon la publication britannique spécialisée Jane's Intelligence Review, la menace est plus sensible encore depuis la publication, en décembre 2007 à Washington, du rapport des agences de renseignements américaines, le NIE, qui, en relativisant la menace nucléaire iranienne, a rendu improbable une intervention militaire des États-Unis.
La peur de se retrouver seul face à l'Iran nourrit les rumeurs d'une intervention militaire israélienne contre les installations iraniennes. Benyamin Ben Eliezer, le ministre israélien des Infrastructures, a prévenu le mois dernier qu'une «attaque iranienne contre Israël déclenchera une riposte dure qui provoquera la destruction de la nation iranienne».
L'État hébreu disposerait aujourd'hui, selon les spécialistes, de 100 à 200 têtes nucléaires. Son armée détient toute la gamme des vecteurs pouvant délivrer une arme atomique, notamment des bombardiers de fabrication américaine F 15 ou F 16, ainsi que des missiles.
La dissuasion israélienne s'appuierait aussi, depuis peu, sur une composante marine. Avec l'aide, non plus de la France, mais de l'Allemagne cette fois ! Au début des années 1990, Tel-Aviv a passé des accords de coopération avec Berlin, qui concernent notamment la livraison de trois sous-marins Dauphin, appartenant à la dernière génération. Selon Pierre Razoux, il est probable que des missiles nucléaires puissent être embarqués dans ces sous-marins dotés d'une technologie anaérobie. «Les Allemands sont antinucléaires chez eux, mais permettent à Israël de renforcer sa dissuasion nucléaire en lui livrant de nouveaux vecteurs», remarque le spécialiste.
(*) Pierre Razoux est l'auteur de «Tsahal, Nouvelle histoire de l'armée israélienne», Perrin 2006.
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