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16 avril 2016
Equateur, Argentine, Venezuela, Brésil...Depuis quelques mois, une stratégie de contre-révolution à l'échelle régionale est à l’œuvre.
"Nao vai ter golpe". Il n’y aura pas de coup d’Etat. C’est la consigne scandée dans les manifestations en soutien au gouvernement de Dilma Rousseff au Brésil, soigneusement occultées par nos médias. Chez nous, par contre, le récit dominant est un copié collé de la version de la droite brésilienne. Devinez sa cible ? L’entourage de Dilma au Parti des Travailleurs, ainsi que l’ancien Président et syndicaliste Lula Da Silva. L’accusation portée ? Une prétendue corruption généralisée. Et...la vérité là-dedans ? Eh bien, chers lecteurs et lectrices, nous avons le plaisir de vous dévoiler dans ce numéro les dessous de cette manœuvre coordonnée par le pouvoir judiciaire et le monopole des médias brésiliens.
Ce n’est pas un hasard si tout cela arrive en même temps. Même méthode et mêmes acteurs, le pouvoir judiciaire et les médias argentins s’acharnent contre l’ancienne Présidente de l’Argentine, Cristina Fernandez, dont la popularité, quatre mois après l’arrivée au pouvoir de la droite de Macri, reste énorme. Car les peuples argentin et brésilien n’ont pas oublié les conséquences néfastes de la politique néolibérale menée pendant les années 80 et 90, ni la complicité de ses oligarchies avec les dictatures militaires issues de coups d’Etat il y a quelques décennies. Nous abordons cette face cachée de l’histoire dans les interviews de Hilda Presman et Carlos Aznarez.
Entretemps, les médias européens continuent à déformer la réalité du Venezuela lorsqu’ils montrent les effets et évitent systématiquement d’expliquer les causes. Pourtant, une véritable guerre économique se déroule sous nos yeux, suivant les mêmes méthodes que celles qui précédèrent le renversement de Salvador Allende, et qui consiste à interrompre la distribution des produits de première nécessité afin de semer le mécontentement dans la population et de briser l’union du peuple avec les leaders de la Révolution bolivarienne.
Ironie du destin, l’affaire des "Panama Papers" vient confirmer que la droite en Argentine, au Brésil et au Venezuela n’est pas vraiment en mesure de donner des leçons en matière d’évasion fiscale. Pas de chance, les dirigeants vénézuéliens ne figurent pas dans les documents filtrés de Panama. Les gouvernements de Correa et d’Evo non plus. Par contre, il y a déjà de quoi écrire un bon scénario de "télénovela" avec les noms familiers de la droite apatride qui y figurent en abondance, comme Aécio Neves, Eduardo Cunha et...un dénommé Macri.
Ce n’est pas un hasard si tout cela arrive en même temps. Même méthode et mêmes acteurs, le pouvoir judiciaire et les médias argentins s’acharnent contre l’ancienne Présidente de l’Argentine, Cristina Fernandez, dont la popularité, quatre mois après l’arrivée au pouvoir de la droite de Macri, reste énorme. Car les peuples argentin et brésilien n’ont pas oublié les conséquences néfastes de la politique néolibérale menée pendant les années 80 et 90, ni la complicité de ses oligarchies avec les dictatures militaires issues de coups d’Etat il y a quelques décennies. Nous abordons cette face cachée de l’histoire dans les interviews de Hilda Presman et Carlos Aznarez.
Entretemps, les médias européens continuent à déformer la réalité du Venezuela lorsqu’ils montrent les effets et évitent systématiquement d’expliquer les causes. Pourtant, une véritable guerre économique se déroule sous nos yeux, suivant les mêmes méthodes que celles qui précédèrent le renversement de Salvador Allende, et qui consiste à interrompre la distribution des produits de première nécessité afin de semer le mécontentement dans la population et de briser l’union du peuple avec les leaders de la Révolution bolivarienne.
Ironie du destin, l’affaire des "Panama Papers" vient confirmer que la droite en Argentine, au Brésil et au Venezuela n’est pas vraiment en mesure de donner des leçons en matière d’évasion fiscale. Pas de chance, les dirigeants vénézuéliens ne figurent pas dans les documents filtrés de Panama. Les gouvernements de Correa et d’Evo non plus. Par contre, il y a déjà de quoi écrire un bon scénario de "télénovela" avec les noms familiers de la droite apatride qui y figurent en abondance, comme Aécio Neves, Eduardo Cunha et...un dénommé Macri.
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